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RIDE

Manifestation culturelle

Strasbourg 67000

Le 12/03/2022

Présenté par le TJP CDN de Strasbourg Grand-Est dans le cadre du Festival Les Giboulées Dans certains récits mythologiques, la terre est la matière même qui servit à modeler les premiers Hommes et Femmes. Ride invite les plus jeunes à creuser dans les origines de la vie, à explorer cette gardienne des traces du passé jusqu’à retrouver le corps d’une très vieille femme. Un espace archéologique et immersif traverse la scène, poétisant les lieux et nourrissant les imaginaires. Assis autour de fragments d’argile rouge et de planches de bois, le public tisse un parcours initiatique, construit avec l’interprète, qui fait émerger des histoires enfouies. Cette quête de ce qui nous a précédé interroge les traces laissées par nos existences, mais aussi les deux stades de la vie les plus éloignés, son commencement et sa fin. Dans la lignée de son travail – centré sur l’enveloppe charnelle et ce qui l’habite, l’apparence et les couches que l’on porte en soi – Carine Gualdaroni s’empare de gestes aussi archaïques que cathartiques : creuser, retourner, fouiller la terre avant de s’y voir rappeler.

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Manifestation culturelle

Strasbourg 67000

Le 13/03/2022

Présenté par le TJP CDN de Strasbourg Grand-Est dans le cadre du Festival Les Giboulées Dans certains récits mythologiques, la terre est la matière même qui servit à modeler les premiers Hommes et Femmes. Ride invite les plus jeunes à creuser dans les origines de la vie, à explorer cette gardienne des traces du passé jusqu’à retrouver le corps d’une très vieille femme. Un espace archéologique et immersif traverse la scène, poétisant les lieux et nourrissant les imaginaires. Assis autour de fragments d’argile rouge et de planches de bois, le public tisse un parcours initiatique, construit avec l’interprète, qui fait émerger des histoires enfouies. Cette quête de ce qui nous a précédé interroge les traces laissées par nos existences, mais aussi les deux stades de la vie les plus éloignés, son commencement et sa fin. Dans la lignée de son travail – centré sur l’enveloppe charnelle et ce qui l’habite, l’apparence et les couches que l’on porte en soi – Carine Gualdaroni s’empare de gestes aussi archaïques que cathartiques : creuser, retourner, fouiller la terre avant de s’y voir rappeler.

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